Les pieds dans l'plat a déménagé!
Venez découvrir le nouveau blog :
Bon appétit bien sûr!
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Rédigé à 09:59 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Au menu : diversité et qualité !
Le Tertre, construit il y a 30 ans, est le plus grand restaurant universitaire de Nantes avec ses 4500 m2. Au rez-de-chaussée : on trouve un îlot de vente à emporter et un bar/cafétéria (où on peut prendre son petit déjeuner).
A l'étage, il y a cinq îlots : cuisine traditionnelle, cuisine du monde, cuisine italienne, grille, poisson.
Plus de 3500 repas par jour sont servis par une équipe de 60 personnes, pour seulement 2,75 euros pour les étudiants.
3 avantages :
- un choix important de plat
- un repas équilibré
- un rapport qualité prix imbattable
En pratique, il y a donc une grande variété de menu : entre entrée, plat principale et dessert. Il est facile de trouver son bonheur.
Mais voilà le R.U. est victime de son succès ; après treize heures, il est rare de se voir proposer autant de choix. Grande déception pour les adeptes de la cuisine italienne : les excellentes pizzas ne sont plus au programme. Gare aux heures de pointe à 13h, car l'attente peut être quelques fois assez longue. Par expérience on peut aussi avoir le dernier steak servi au grill devant soi, et se voir proposer du poisson avec de la chance, à moins d'avoir à refaire la queue ailleurs.
Côté décoration, il a été complètement restructuré l'année dernière, et aujourd'hui c'est une déco design et coloré qu'il propose et qui ravira les fans d'Ikéa.
Bref des plats équilibrés, pas cher, dans un espace moderne et coloré.
Que demander de plus ?!
Rédigé à 17:19 dans La bouffe à la fac | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Parler de la cuisine française et la comparer à la cuisine de mon pays, l’Algérie, voilà un sujet très important à mes yeux, car en arrivant en France il y’a seulement quelques jours, l’une des choses qui m’a frappé est bel et bien tous ces plats et toute cette nourriture qu’on propose dans les restaurants et les « fast-food» ? (chez nous les fast-food sont ces endroits où l’on vend surtout des sandwichs avec frites, je n’en ai pas vu à Nantes).
Le premier plat auquel j’ai eu droit était un cheese-burger, je l’ai mangé sans savoir vraiment ce que c’était, c’est vrai que j’entendais parler à la télé mais rien de plus. Vous-vous demandez peut-être si ça m’a plu, pour tout vous dire…non, mais j’étais obligé de le finir car j’avais faim.
Le deuxième jour, et tout en étant « contraint » de manger, je suis entré dans un restaurant tunisien. Avant même de parler au serveur, il m’a proposé de prendre un kebab avec frites. J’étais étonné devant cette appellation « kebab », ma curiosité était si grande de découvrir cette chose, que j’ai accepté son offre. Surtout qu’il était question de frites, et je dois dire que c’était pas mal.
Etant quelqu’un qui aime tout ce qui traditionnel, j’étais heureux de découvrir que le resto U propose la cuisine traditionnelle, enfin un vrai plat, enfin de la bonne nourriture, celle que j’aime. J’ai fait la chaîne comme tout le monde, j’ai pris mon plat comme tout le monde, j’ai eu droit à la gentillesse des serveuses comme tout le monde…Mais, au contraire de tout le monde, la déception s’est emparée de moi en commençant à manger cette cuisine « traditionnelle » ??…En fin de compte, je me suis contenté du dessert, et depuis je ne mange que des frites au resto U.
La conclusion à laquelle je suis arrivé est que la cuisine française est beaucoup plus futuriste et plutôt compliquée, mais puisque j’y suis, il faut que je m’y adapte, alors…Bon appétit.
Rédigé à 11:23 dans Cuisine d'ici et d'ailleurs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
On dit souvent que les jeunes et plus particulièrement l'étudiant mange mal ; à cause d'un budget serré, d'un temps restreint, d'un poil qui prend trop de place dans la main, d'un goût immodéré pour les pizzas et les frites. Mais, devons-nous rappeler que les hamburgers coûtent cher et que la queue est longue derrière les hommes en costume ?
Il y a bien longtemps que j'ai déserté les fastfood et pourtant, je suis jeune.
Une anecdote. L'autre jour, c'était un samedi, en me faufilant entre les rayons de mon supermarché préféré, je constatai avec surprise que plein d'autres étudiants avaient eu la même idée que moi. S'étaient-ils donné rendez-vous ? Le supermarché est-il un nouveau lieu de rencontre ? Ils étaient partout, panier en main et armés d'une volonté de fer. Je décidai de les suivre. Passons les clichés parce que finalement, l'étudiant ne les respecte pas. Pas d'alcool ni de bonbons à gogo. Mais, des légumes ! Certes en conserve mais, tout de même, des légumes ?! Des petits pois, des haricots verts, des tomates et même des épinards. J'appris que l'étudiant était loin d'être végétarien. Il mange des œufs, des produits laitiers, de la viande, parfois du poisson. Savez-vous qu'il sait lire les étiquettes ? Le jeune ferait-il attention à ce qu'il ingurgite ? Evidemment, on n'échappe pas au traditionnel séjour dans le rayon des pâtes (je dis séjour parce que là vraiment il y pense du temps, comme s'il se trouvait dans la caverne d'Ali Baba). A vous donner le vertige tellement le choix est vaste.
Finalement, 5 fruits et légumes par jour, on y est presque. Les étudiants se nourriraient-ils bien ? Traîtres. Ennemis de la Junk food. Ne voyez-vous donc pas que vous faillissez à notre réputation ?
Julie Oyono - [email protected]
Rédigé à 11:16 dans La bouffe à la fac | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Qui n'a jamais entendu cet inexorable refrain. Et oui, les temps sont durs pour les étudiants, en ce début d'année. Mais rassurez-vous, manger des patates en soit n'est pas une fatalité...si l'on sait bien les concocter.
Les pieds dans l'plat vous livre des recettes qui vont vous donner la patate !
Pour celui qui n'a pas envie de se fouler, hamburger de pomme de terre
Pour une soirée entre potes, gaufres de patates
Pour un repas en amoureux, Dranikis.
La patate on la côtoie souvent mais la connaissons-nous vraiment ?
Les pieds dans l'plat a suivi pour vous l'aventure de ce merveilleux tubercule.
Petit tour d'horizon d'un légume aux vertus cachées.
La pomme de terre est découverte par les indigènes de la Cordillères des Andes, près de 1000 ans avant JC, sous le nom de "papa".
Les conquistadors espagnols la rapportent en Europe vers 1534. Sa culture s'étend rapidement en Italie et Allemagne. Mais mal vue pendant deux siècles, elle n'est utilisée que pour nourrir le bétail.
En France, c'est notre M. Parmentier qui fait la promo de la patate comme aliment humain. Il persuade Louis XVI de son utilité pour lutter contre la famine. Pour la rendre populaire, il en plante dans les jardins du roi et les fait garder militairement, sauf le soir pour donner libre cours à la maraude... pas mal l'astuce !
Le roi Louis XVI le félicite en ces termes :La France vous remerciera un jour d'avoir inventé le pain des pauvres.
Leur emploi dans la cuisine populaire se développe alors très rapidement.
Après le blé, c'est le deuxième aliment le plus consommé au monde.
Les Français consomment 40 kilos de pomme de terre par personne et par an.
Aujourd'hui, cette "truffe du pauvre", selon Victor Hugo est un véritable mets universel, consommé de manière très varié partout dans le monde et peut-être ce soir dans votre assiette...
Dis-moi, c'est quoi une patate ?
La pomme de terre appartient à la famille des solanacées. Elle pousse sur une plante vivace cultivée annuellement, qui comporte une tige et, sous terre, la partie comestible : les tubercules.
Pour profiter de leurs vitamines, il faut les cuire avec leur peau. Les pommes de terre cuites à l'eau, à la vapeur, sont peu caloriques.
La patate n'est pas cultivée seulement pour être mangée, bande de goinfres !
Sur 4 000 variétés recensées dans le monde, une centaine seulement sont comestibles( la Starlette, la Roseval, la Charlotte, l'Amandine etc.)
Les amateurs de vodka doivent savoir qu'au XIX ème siècle, l''alcool de pomme de terre a servi à confectionner la vodka, mais qu'aujourd'hui cet usage a à peu près disparu.
C'est dans l'industrie non-alimentaire que se trouvent de nombreux débouchés : et oui ! elle entre dans la composition de certains médicaments, dans celle du rouge à lèvres !? ou des couches pour bébés, dans la papeterie, le textile, le contreplaqué. Et même dans la composition du caoutchouc.
Une grande dame, cette patate !
Pour les habitués de conserves ou pizzas qui ne connaissent pas le rayon fruits et légumes de leur supérette ou grande surface, je vous informe que toutes les patates ne sont pas jaunes ! la preuve ?
Voici une variété péruvienne à la chair violette : la vitelotte. Elle n'est pas faite que pour les yeux, et oui monsieur, celle-ci elle se mange !
Moi ma préférée, vous en penserez ce que vous voulez mais c'est celle de Noirmoutier (benotte) !
Les bons vieux trucs de grand-mère !
En plus de ses bienfaits alimentaires, cette madame patate a des vertus curatives, elle n'a pas finie de nous étonner !
Sur les paupières enflées, les gerçures, les engelures, étaler des pommes de terre crues et râpées.
Pour les brûlures superficielles : frotter légèrement avec une pomme de terre crue coupée en deux la plaie.
Contre les torticolis et les maux de gorge : glisser des pommes de terre chaudes dans un bas de laine et l'enrouler autour du cou.
A vous de voir !
Des patates, vous en voulez encore ?
Nous vous conseillons un resto à Nantes, Un amour de pomme de terre.
Bon régal.
Aurore M.
Rédigé à 11:14 dans fruits et légumes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Commençons par un petit sondage : savez-vous ce qui a lieu tous les ans, en octobre, dans toutes les villes de France, et qui a priori nous concerne tous ? Non ?
Eh bien il s’agit de la Semaine du Goût, évènement qui, cette année encore, est passé quasi-inaperçu du côté de la fac de Nantes, sinon de la ville tout entière.
Lancée en 1990 par la Collective du Sucre, cette manifestation a pour vocation de promouvoir notre vaste patrimoine gastronomique, en initiant petits et grands aux plaisirs du palais.
Le principe : proposer des expériences gustatives insolites et diffuser le savoir culinaire. Le slogan de cette 17ème édition, qui s’est déroulée du 16 au 22 octobre derniers ? « Ensemble, défendons la cause du goût ».
Louable intention certes, mais qui aurait mérité qu’on s’en donne les moyens ! Comment se fait-il en effet qu’une manifestation nationale trouve si peu d’échos dans une ville telle que Nantes ? Peut-être nos chères têtes blondes ont-elles eu la chance d’y être associées, puisqu’en général cette semaine est plutôt bien suivie dans les écoles maternelles et primaires. Mais il semblerait que l’on ait oublié de prévenir les personnels du R.U. (entendez Restaurant Universitaire, pour ceux qui auraient la chance de ne pas connaître), car aucune manifestation particulière n’était prévue cette semaine-là à Nantes : « Comment ça, la semaine du goût ? Vous croyez qu’on n’a que ça à faire, nous ? ». Dommage, pour ceux qui comme moi pensaient échapper pour une fois au sempiternel dilemme : pizza - pommes de terre ou pâtes- riz ?
Un point positif toutefois : certains restaurants du centre-ville ont joué le jeu, en proposant des menus hors du commun à prix réduit. Mais les places étaient rares, alors surtout l’année prochaine, pensez à réserver. On vous aura prévenu, nous au moins…
Rédigé à 09:20 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Film documentaire réalisé par Morgan Spurlock, Supersize me s’intéresse à l’alimentation des américains.
Il est donc parti d’un fait simple : MacDonald’s se vante de proposer une nourriture saine et équilibrée. Que se passe-t-il si vous ne vous nourrissez que dans les fast-foods ?
Réponse rapide : Il prend 13 kg en 30 jours et interrompt son expérience, les médecins lui ayant recommandé d'arrêter au bout de trois semaines vu l'état de dégradation de sa santé. Il a même commencé à développer une dépendance à la nourriture McDonald.
Dans sa forme, Supersize me prend le relais des films de Michael Moore avec Bowling for Colombing ou Fahrenheit 9/11. Avec une bonne dose d’ironie et de dynamisme, on suit un Morgan Spurlock plein d’entrain se goinfrer, interroger des habitués des fast food ou des nutritionnistes
Dans son fond, on voit se démarquer des faits graves :
- plus d'un tiers des enfants et des adolescents américains ont un problème de poids.
- 2 adultes sur 3 aux USA sont atteints de surcharge pondérale ou d'obésité.
- MacDonald’s nourrit 45 millions de gens par jour, soit 17 milliards par an ( ?!)
Même si c’est un film sur et pour les américains pensons que ça n’arrive pas qu’aux autres. Les images sont parfois plus parlantes que les mots alors n’hésitez pas : foncez voir le film au lieu d’aller chez Ronald.
Un petit avant goût : Un extrait
Site internet du film (en anglais) : www.supersizeme.com
Rédigé à 21:55 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)